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« Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et …, je guérirai son pays.»2 Chron7:14

FRANCE, dont les destins ont enrichi le monde,
Pourrais-tu demander à Dieu qu’il te sonde,
Comment avons-nous fait pour tomber si bas,
Saurions-nous nous rappeler les recettes d’autrefois,
Aurions-nous oublié comme il faisait bon vivre ?
Inscrivons au tableau le vieux modèle à suivre .

Nous n’étions pas bien riches mais tout le monde souriait 
Dans les trains, le métro tous les gens se parlaient,
L’autorité régnait et les maîtres enseignaient
Dans le calme et respect, les élèves s’instruisaient,
Aller à notre travail nous réjouissait le coeur 
Les heures supplémentaires ne nous faisaient pas peur
Les patrons nous saluaient et nous félicitaient
Les bilans défilaient et les affaires marchaient, 
Les trains étaient à l’heure et aussi les avions 
Rarement de mécontents ni de contestation.

On peut dire qu’autrefois on avait des valeurs
Mais tout a bien changé, qui a changé nos coeurs ?

Dans les bus, les enfants faisaient place aux mamies
En congé le jeudi ils jouaient à la marelle,
Les gens étaient très simples et heureux de leurs vies
Ils se supportaient bien sans se chercher querelles,
Seulement un petit nombre partaient en grandes vacances
Ils avaient de la chance, nous n’étions pas jaloux
Sachant qu’avec courage et la persévérance
Un jour à notre tour nous aurions quelques sous
Pour gagner des échelons, acheter une maison,
Peut-être un peu moins grande que celle de notre patron.

On peut dire qu’autrefois on avait des valeurs
Mais tout s’est transformé, qui a changé nos coeurs ?

Nous n’avions ni ordinateurs ni téléphones portables,
Seulement des cinémas aux sièges inconfortables
À l’entracte , génial, on avait pour seul choix
Bonbons caramels, esquimaux chocolat 
Mais ça nous plaisait bien, pourquoi faire compliqué,
Nous n’étions pas obèses, la vie a bien changé,
Et nous marchions tranquilles  dans les rues de Paris,
N’y avait pas de trottinette dans les sens interdits
Mais des beaux marrons chauds qui réjouissaient nos coeurs,
Les clochards sur les bancs nous contaient leurs malheurs.

Les cloches des églises sonnaient chaque midi,
Les touristes affluaient et aimaient tant Paris,
Les talons des belles dames claquaient sur les trottoirs
Leurs tenues élégantes étaient si belles à voir,
Quelques troubadours faisaient de la musique
Réjouissant notre oreille  de complaintes romantiques,
Le temps d’une chanson les badauds s’arrêtaient
Une pièce de un franc dans l’assiette ils glissaient, 
Tout ce monde d’autrefois cohabitait bien mieux,
Les couples se bécotaient, tout le monde était heureux.

Oui c’était ça la France, tous ces petits bonheurs
Mon pays a changé, ça me brise le coeur !

Il suffirait d’un rien pour que ces temps reviennent,
Il suffirait d’un rien pour que tous se comprennent,
L’amour de son prochain, le respect de chacun,
L’amour de la patrie, le respect de son pays
Celui qui nous nourrit, celui qui nous instruit
Celui qui nous guérit, qui prend soin de chacun
Brandissons le drapeau, la bannière de la France
Respectons les héros qui sont tombés pour elle,
Rassemblons le pays dans un cri d’espérance
Et implorons ensemble le seul secours du ciel.

On peut dire qu’autrefois on avait des valeurs
Mais tout s’est transformé, qui a changé nos coeurs ?

« Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays.»‭‭2 Chroniques‬ ‭7‬:‭14‬ ‭
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