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La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Jacques 5:15

Les miracles de guérison observés au temps de l’Église primitive sont encore valables pour aujourd’hui et l’on voit des guérisons en réponse à la prière se multiplier. La prière pour le malade doit être faite avec foi pour qu’elle soit efficace.
« Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Eglise, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. » (Jacques 5:14-15)

Quand un membre souffre, l’assemblée est concernée, et les anciens de l’église devraient être appelés. Il est laissé à leur discrétion de prier à son sujet, de l’oindre d’huile au nom du Seigneur, et alors il est guéri, ses péchés étant pardonnés au point de vue gouvernemental. Il ressort d’autres passages comme 1 Jean 5.16 que le discernement spirituel des anciens doit être en exercice pour savoir si c’est, ou non, la volonté de Dieu qu’il y ait guérison. S’ils discernent que c’est Sa volonté, ils peuvent alors être remplis de foi et de confiance pour prier en toute liberté, le rétablissement ne manquant pas alors d’intervenir à titre de réponse.
Ceci est-il valable aujourd’hui ? Nous le croyons. Pourquoi est-ce si peu pratiqué ? Il y a au moins deux raisons à cela. La première est qu’il n’est pas facile de trouver les anciens de L’assemblée — même s’il est assez facile de trouver les anciens de certains corps religieux. L’assemblée de Dieu a été ruinée quant à sa manifestation et son unité extérieures, et nous avons à en subir la peine. La seconde raison — admettant qu’on ait trouvé des anciens de l’assemblée et qu’ils soient venus en réponse à l’appel — est qu’il est très rare qu’ils aient le discernement et la foi requis pour faire monter une prière de foi telle qu’envisagée dans ce passage.
Remarquons que la foi doit se trouver chez ceux qui prient, c’est-à-dire les anciens. Il n’est rien dit de la foi du malade, bien qu’on puisse conclure qu’il ait quelque foi dans l’affaire, au moins assez pour faire appeler les anciens selon ce passage de l’Écriture. On peut aussi conclure de ce qui figure immédiatement après au v. 16, qu’il confesserait ses péchés s’il en a commis. Nous soulignons ces points car on s’est servi de ce passage pour supporter des pratiques qui ne sont justifiées ni par ce passage ni par d’autres.
La confession dont parle le verset 16 n’est cependant pas exactement la confession aux anciens. C’est plutôt « l’un à l’autre ». Ce verset n’a pas de caractère officiel comme l’ont les versets 14 et 15. Il n’y a aucune raison pour que quelqu’un d’entre nous ne puisse pas pratiquer une prière de guérison de ce genre.

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Le cas dont il s’agit est celui de deux croyants dont l’un a offensé l’autre, sans pour autant qu’aucun des deux ne soit entièrement exempt de blâme, les deux étant par conséquent atteints dans leur santé. Celui qui a commis l’offense à titre principal vient avec une confession, ressentie dans le cœur, du tort qu’il a commis.
L’autre est poussé par là à confesser des torts qu’il peut y avoir de son côté, et les deux étant ainsi fondus devant Dieu, ils se mettent à prier l’un pour l’autre. S’ils ont réellement cessé leur mauvaise manière d’agir et qu’ils s’engagent dans la voie de la justice, ils peuvent s’attendre à ce que Dieu les entende et les guérisse.

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