Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Vous aimez nous lire?

Soutenez-nous !

Le jour chassera la nuit!

Le soleil s’est couché

Nous plongeant dans l’ombre

Que la mort a tracée

De son histoire sombre.

 

Les pleurs et le chagrin

Ô ! Tristes compagnons !

Nous tiennent par la main

Voilant notre horizon.

 

Que nos pas semblent lourds

Et le chemin blessant !

En attendant le jour

Oui ! Du soleil levant !

 

« O mort, où est ta victoire ?

O mort, où est ton aiguillon ? »

 

La nuit s’évanouit

Dans un dernier soupir

Déjà la lumière luit

La nuit vient de mourir.

 

Le soleil s’est levé

Effaçant les ombres

La mort s’en est allée

Plus d’histoires sombres.

 

La vie a triomphé

Et le chagrin n’est plus

Les larmes sont séchées

Les pleurs ont disparu.

 

Voici le jour nouveau

C’est la résurrection !

Et le soleil d’en Haut

Eclaire notre horizon.

 

L’espoir naît dans nos cœurs

En attendant le jour

Le grand jour du Seigneur

Avec lui pour toujours.

Lecture : Apocalypse 7 v 17 :

« Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux. »

www.poesie-chretienne.com

Cette période de la Toussaint vient raviver la douleur qui est restée au fond de nos cœurs par le départ de nos proches. « Quand la mort nous frappe par la disparition d’un être cher, c’est comme la nuit qui s’abat sur nous. Mais l’espoir du croyant se repose sur la Parole de Dieu qui déclare que cette mort sera chassée au jour de la résurrection. »

« Et j’entendis du ciel une voix qui disait : Écris : Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. » (Apocalypse 14/13).

Lorsque le décès frappe une famille, les mots nous manquent pour lui apporter notre soutien et la consolation. Bien entendu ils sont importants et ont toute leur place. Mais la voix qui vient du ciel, correspond à ce que nous avons besoin d’entendre. Une voix venant du ciel accompagnée de mots choisis et si précieux pour notre âme.

Paul s’adressant aux chrétiens de Thessalonique parlait avec les mots du ciel quand il leur envoya cette lettre : « Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui sont décédés, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont pas d’espérance. »

Paroles d’espérance et de soutien envers tous ceux et celles qui traversent cette dure épreuve de la séparation.

À d’autres croyants, il avait encore des mots venant du ciel : « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions. »

Cette même voix résonne toujours aujourd’hui. Cette parole qui nous rappelle la fragilité de l’existence : « Éternel ! Dis-moi quel est le terme de ma vie, quelle est la mesure de mes jours ; que je sache combien je suis fragile. Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main… »

 

Les commentaires sont fermés.

LES ARTICLES LES PLUS LUS