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« Reconnaitre, prévenir un accident vasculaire cérébrale (AVC) et agir vite »

Un accident vasculaire cérébral (AVC) survient lorsqu’il y a une perturbation de l’approvisionnement en sang d’une partie du cerveau. Cela peut se produire en raison d’un vaisseau sanguin Obstrué ou bouché (AVC ischémique le plus fréquent) ou en raison d’un vaisseau sanguin qui éclate ou rompu (AVC hémorragique), dans moins de 15% des cas.

En cas d’accident vasculaire cérébral (AVC), le risque de décès est élevé. S’il n’entraîne pas la mort, l’AVC peut causer des troubles de la vision ou de la parole, une paralysie (une faiblesse d’un côté du corps, bras ou jambes), une déformation de la bouche. On parle d’accident car celui-ci survient de manière brutale. Après un premier accident vasculaire cérébral, il existe un risque de récidive accru. Le risque de mortalité dépend de la nature de l’AVC. En cas d’accident ischémique transitoire, les symptômes disparaissent en vingt-quatre heures et l’issue est la plus favorable. L’AVC causé par la sténose carotidienne (rétrécissement de l’artère du cou qui irrigue le cerveau) est plus grave. L’obstruction d’une artère est encore plus dangereuse, mais le plus redoutable reste la rupture d’un vaisseau cérébral.

Dix facteurs de risques déterminés par le mode de vie sont associés à la survenue de 90% des AVC : l’antécédent d’hypertension artériel, le tabagisme, l’obésité, une alimentation non équilibrée, le manque d’activité physique, la consommation abusive d’alcool, les facteurs psychosociaux (stress, dépression…), le diabète, le taux élevé de lipide dans le sang (l’hypercholestérolémie)

Pour agir, l’OMS déploie de nombreuses initiatives et mesures afin de limiter les risques d’AVC et améliorer sa prise en charge. De plus, chaque pays élabore et met en œuvre les stratégies adaptées à leurs territoires.

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